La Peugeot 206 1.1 essence demeure un choix populaire parmi les conducteurs soucieux de leur budget. Sa puissance fiscale, un indicateur fondamental en France pour déterminer diverses dépenses liées à la voiture, comme la taxe de circulation et les coûts d’assurance, joue un rôle significatif dans l’attrait économique de ce modèle. Avec un moteur de petite cylindrée, la 206 se positionne comme une option économique, offrant une faible puissance fiscale qui se traduit par des coûts réduits pour le propriétaire. Comprendre cet aspect est essentiel pour évaluer l’impact financier à long terme de l’acquisition de ce véhicule.
La puissance fiscale de la Peugeot 206 1.1 essence expliquée
Déterminer le nombre de chevaux fiscaux de votre Peugeot 206 1,1 e s’avère une étape décisive pour comprendre la fiscalité automobile qui lui est associée. La puissance fiscale, exprimée en chevaux fiscaux, est un facteur déterminant pour le calcul des taxes inhérentes à la possession et à l’utilisation d’une voiture. Pour la Peugeot 206 1,1 e, produite entre 1998 et 2006, ce chiffre est fixé à 4 chevaux fiscaux, selon les données officielles. Cette valeur, relativement modeste, s’explique par la puissance réelle du moteur, qui atteint 60 chevaux à 5500 tr/min.
Le constructeur automobile français Peugeot, reconnu pour son savoir-faire, a conçu la 206 1,1 e pour s’insérer dans le segment B, catégorisant ainsi cette berline comme un véhicule citadin, pratique et peu gourmand en carburant. La maîtrise de l’énergie essence et la puissance modérée du moteur ont contribué à établir une puissance fiscale avantageuse pour les acquéreurs, qui se voient alors bénéficier de taxes réduites, tant pour l’obtention de la carte grise que pour l’assurance.
La gamme des modèles de Peugeot 206, y compris la 206 SW, la 206 CC et la 206+, a connu différentes puissances fiscales, impactant directement le coût de détention du véhicule. La Peugeot 206 1,1 e, avec ses 4 chevaux fiscaux, illustre l’engagement du constructeur à offrir une voiture répondant aux attentes d’économie et de performance mesurée. La cessation de production en 2006 ne diminue pas l’attractivité de ce modèle sur le marché de l’occasion, où sa puissance fiscale continue de jouer un rôle prépondérant dans l’évaluation de son coût global.
Calcul et impact fiscal de la puissance fiscale sur la Peugeot 206 1.1 essence
La puissance fiscale d’un véhicule comme la Peugeot 206 1.1 essence, fixée à 4 chevaux fiscaux, influe directement sur le coût du certificat d’immatriculation, plus communément appelé carte grise. En France, cette taxe régionale varie selon les régions, et son calcul s’opère selon une formule bien précise. Prenez la formule PA = 1,80 x (PM kW/100)² + 3,87 x (PM kW/100) + 1,34, où PA représente la puissance administrative nationale et PM la puissance maximale du moteur en kilowatts. Cette formule tient compte de l’efficacité énergétique et de l’impact écologique du véhicule.
La taxe régionale, un des composants majeurs du tarif de la carte grise, dépend donc de cette puissance fiscale. Pour une Peugeot 206 1.1 essence, l’acquéreur doit s’acquitter d’un montant calculé en multipliant le nombre de chevaux fiscaux par le prix du cheval fiscal de sa région. Considérez que dans certaines régions, des réductions ou exonérations sont possibles, notamment pour les véhicules propres ou de faible puissance fiscale.
Les démarches d’immatriculation, gouvernées par l’Agence Nationale des Titres Sécurisés (ANTS) ou par des services tels que le Guichet Carte Grise, doivent être réalisées dans les 30 jours suivant l’achat du véhicule. Le certificat d’immatriculation, attestant de la conformité et de la légalité du véhicule, est alors délivré. Il indique le nombre de chevaux fiscaux et, de ce fait, constitue un document essentiel, notamment pour la revente ou le calcul de l’assurance.
La Peugeot 206 1.1 essence, malgré sa modeste puissance fiscale, n’échappe pas à la règle. Le coût de détention de ce modèle reste influencé par la fiscalité automobile, qui s’ajoute aux frais d’entretien et d’usage habituels. Les acquéreurs doivent donc prendre en compte ces éléments pour évaluer le coût global de leur investissement automobile. La fiscalité, bien loin d’être une simple formalité administrative, s’inscrit comme un critère de choix déterminant dans l’écosystème du marché automobile.