C’est une information inquiétante qui vient d’être rendue publique par l’Association Française des Médecins. Son porte-parole, Jean-Jacques Boulard, est plus que formel : la mort serait « potentiellement dangereuse » pour l’organisme humain et pour n’importe quel organisme vivant de façon générale, « voire peut-être pour les minéraux ».
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Une batterie de tests sérieux
Pour parvenir à cette conclusion, plusieurs tests ont été menés à l’hôpital de la Salpêtrière à Paris. Des patients consentants ont ainsi accepté de perdre la vie pour faire avancer la science, pour échapper à des créanciers trop pressants ou simplement pour mettre fin à une existence trop ennuyeuse.
Afin de disposer de données exploitables, plusieurs façons de mourir on été envisagées, comme nous l’explique le Professeur Lavisse : « Nous avons opté pour trois causes de décès classiques : l’accident domestique par séchage de cheveux dans le bain, la crise cardiaque en faisant regarder au patient une image de Donatella Versace démaquillée ou encore l’attaque physique par un ours armé d’un taille-haies ».
Plus troublant encore, le patient mort ne répond même plus à la technique pourtant éprouvée des chatouilles sous les pieds.
100 % de résultats positifs
Les résultats sont sans appel : dans 100 % des cas, la mort du patient change ses constantes, le pouls devient inexistant et sa tension très faible. Au bout de quelques minutes, il devient rigide et perd toute forme d’enthousiasme.
Plus vexant pour les médecins, aucun des patients n’a pris la peine de répondre à la question « êtes-vous mort ? ». Un silence « difficile à vivre » de l’aveu de l’équipe médicale.